Conjuguez les verbes entre parenthèses à l’imparfait de l’indicatif.
Règle de conjugaison : L’imparfait de l’indicatif exprime un fait ou une action qui a déjà eu lieu au moment où nous en parlons. Exemple : Il y a deux ans, j’étais plus maigre.
Les terminaison de tous les verbes à l’imparfait s’achèvent par ais, ais, ait, ions, iez, aient. Exemple : j’aimais, tu aimais, il aimait, nous aimions, vous aimiez, ils aimaient
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Texte 1 – Zola – Imparfait
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Question 1 sur 3
1. Question
4 pointsConjuguez les verbes entre parenthèses à l’imparfait de l’indicatif
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J’ (avais) (avoir) alors deux ans, et j’ (étais) (être) bien le chat le plus gras et le plus naïf qu’on pût voir. À cet âge tendre, je (montrais) (montrer) encore toute la présomption d’un animal qui dédaigne les douceurs du foyer.
Et pourtant que de remerciements je (devais) (devoir) à la Providence pour m’avoir placé chez votre tante !
La brave femme m’ (adorait) (adorer). J’avais, au fond d’une armoire, une véritable chambre à coucher, coussin de plume et triple couverture. La nourriture (valait) (valoir) le coucher ; jamais de pain, jamais de soupe, rien que de la viande, de la bonne viande saignante.
Exact
Inexact
-
J’ (avais) (avoir) alors deux ans, et j’ (étais) (être) bien le chat le plus gras et le plus naïf qu’on pût voir. À cet âge tendre, je (montrais) (montrer) encore toute la présomption d’un animal qui dédaigne les douceurs du foyer.
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Question 2 sur 3
2. Question
3 pointsConjuguez les verbes entre parenthèses à l’imparfait de l’indicatif
- Eh bien ! Au milieu de ces douceurs, je n’ (avais) (avoir) qu’un désir, qu’un rêve, me glisser par la fenêtre entrouverte et me sauver sur les toits. Les caresses me (semblaient) (sembler) fades, la mollesse de mon lit me (donnait) (donner) des nausées, j’ (étais) (être) gras à m’en écœurer moi-même. Et je (m'ennuyais) (s'ennuyer) tout le long de la journée à être heureux.
Exact
Inexact
-
Question 3 sur 3
3. Question
3 pointsConjuguez les verbes entre parenthèses à l’imparfait de l’indicatif
-
Il faut vous dire qu’en allongeant le cou, j’avais vu de la fenêtre le toit d’en face. Quatre chats, qui (se battaient) (se battre), le poil hérissé, la queue haute, se roulant sur les ardoises bleues, au grand soleil, avec des jurements de joie. Jamais je n’avais contemplé un spectacle si extraordinaire.
Dès lors, mes croyances furent fixées. Le véritable bonheur (était) (être) sur ce toit, derrière cette fenêtre qu’on (fermait) (fermer) si soigneusement. Je (me donnais) (se donner) pour preuve qu’on (fermait) (fermer) ainsi les portes des armoires, derrière lesquelles on (cachait) (cacher) la viande.
Le paradis des chats (Émile Zola)
Exact
Inexact
-
Il faut vous dire qu’en allongeant le cou, j’avais vu de la fenêtre le toit d’en face. Quatre chats, qui (se battaient) (se battre), le poil hérissé, la queue haute, se roulant sur les ardoises bleues, au grand soleil, avec des jurements de joie. Jamais je n’avais contemplé un spectacle si extraordinaire.
très bien